L’arène pour les jeux sanglants, de trois coups qui ouvrent la cérémonie. Le peuple est invité, tous y trouvent une place dans les gradins et la foule scande le nom des gladiateurs, des hommes venus combattre pour leur maitre. Les jeux réhabilités, la mort que l’on tolère et qu'on acclame.
Le palais est bordé de jardins, d’un bâtiment aussi narcissique que ses propriétaires, il dégueule de faste et mélange les styles, donnant l’impression d’une surcharge de décor. Sculptures, colonnes, pinacles, coupoles. C’est un kaléidoscope regroupant les inventions les plus somptueuses.
Les petites mains s’affolent toutes la journée, les tissus qu’il faut assembler, les matériaux qu’il faut apporter, et ces couleurs qui ne conviennent pas. Les ateliers ne connaissent aucun sommeil, toujours en éveil. Plusieurs bâtiments dispersés qui accueillent les différents arts.
Au dessus de la ville s’étendent les jardins des Capulet, ces floraisons spectaculaires où tous se pressent pour y voir des plantes exotiques. Poumons de Rome, il accueillent les promenades des plus aisés qui viennent y sceller quelques alliances. Une roseraie charme les visiteurs.
Neptune trône accompagné de sa cour. La fontaine et ses miracles, elle attire les plus curieux et même les romains qui connaissent la légende. D’une pièce jetée le dos tourné et c’est l’assurance de revenir à cet endroit et d’y retrouver sa pièce. Les étrangers de la ville perpétuent la croyance.