NOM : Capulet ; les bien-nommés. PRÉNOM : Tybalt ; le mal-aimé ? ÂGE : vingt-six vies il lui semble. Beaucoup de cris. OCCUPATION : Danseur écorché, emmerdeur patenté. ALLÉGEANCE : Les Capulets ; l'honneur de la famille n'a jamais été aussi bien protégé. NATIONALITÉ ET ORIGINES : Romain. RANG SOCIAL : Aede. ORIENTATION SEXUELLE :Les femmes ; elles l'évitent pourtant, ne connaissant que trop les échos de ses amours emportées. STATUT CIVIL : chien enragé, solitaire. TRAITS DE CARACTÈRES : Cassé, claqué. Brutal, animal. Violent ; il ne sait pas s'exprimer autrement. Les Capulets caressent, chuchotent. Il frappe, hurle. Il les voit petits, faibles, dégénérés, surtout. Quelqu'un doit bien se salir les mains pour les sortir de la fange. Il est là, toujours, drapé dans sa fierté mal placée. À disposition pour venger, n'importe qui, n'importe quoi, n'importe quand. Peut-être bien qu'il aime ça. Peut-être bien qu'il est coincé dans sa carcasse trop pleine de crasse, peut-être bien qu'il est coincé entre les murs de sa caboche trop dure. Ou peut-être qu'il n'a que la démesure pour prouver que, lui aussi, fait partie d'Eux. Qu'il existe. Mal, sûrement, mais qu'il existe. Qui sait. GROUPE : ad vitam aeternam.
(UN) Phalanges éclatées, pieds en sang, muscles épuisés, Tybalt a toujours mal. Partout dans son corps, partout dans sa tête. (DEUX) Depuis tout petit, on lui fait évacuer son ire dans le sport ; on épuise la bête, pour qu'elle morde moins fort. C'est d'ailleurs le seul domaine où il excelle. Escrime, boxe, équitation, ballet, tout y passe, pourvu que ça marche. Mais il n'y a que dans la danse que son obscénité est sublimée. (TROIS) S'il est marié au classique, le tango reste sa maîtresse favorite. (QUATRE) Tybalt est amateur de paradis artificiels, en bon Capulet. Dans ces mondes colorés, les Autres y puisent leur créativité; lui n'y trouve que la force de s'oublier. Les Autres sont délicats et mesurés, lui est vulgaire et précipité. Tybalt a bien l'intention de claquer jeune, vite, et salement. (CINQ) La carcasse qu'il se traîne est tatouée de milles graffiti ; parfois souvenirs de nuits laides, parfois mots doux, parfois pamphlets outragés, parfois dessins grivois, on y trouve de tout, et pour tous les goûts. Un grand mélange cacophonique, à son image inesthétique. (SIX) Parce que si Tybalt est beau, il refuse de l'être. Une barbe rebelle vient toujours hanter ses traits, phagocytant son allure de petit prince blond. (SEPT) Paradoxe sur patte, il aime sa famille, autant qu'il la déteste. Il les imite, autant qu'il se démarque. Blessé souvent, il s'est enfermé dans son personnage asphyxiant. On cesse de décevoir quand personne n'attend rien de vous. (HUIT) Au luxe propre et policé de son rang, il préfère souvent la misère souillée des bas-quartiers. Il n'est pas rare de voir sa silhouette rôder là où elle ne le devrait. (NEUF) Il n'a pas vraiment le corps d'un danseur ; trop épais, trop lourd, il ne trouve sa grâce que dans de fiévreux mouvements. (DIX) On l'appelle le Prince des Chiens.
PSEUDO : mojito ÂGE : 22 ans PAYS : france FRÉQUENCE DE CONNEXION : quand je peux. (3/7 à partir de la semaine prochaine, je pense) COMMENT AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM ? : bazzart ACCEPTEZ-VOUS DE FAIRE MOURIR VOTRE PERSONNAGE ? : ouais PV, SCÉNARIO OU INVENTÉ ? pv AVATAR : charlie hunnam CRÉDITS : moriarty
cave canem
Tu étais celui qui criait le plus fort. Mon dieu, tu criais tellement, tellement fort. Les nourrices ne savaient que faire de toi. Moi non plus d'ailleurs. Tu as toujours été si pénible mon fils.
Tu étais tout petit. Tu as grandi. Un temps, nous avons eu espoir que tu t'améliores, que tu te calmes. Seigneur, comme tu nous as prouvé tort. Il t'arrivait de te rouler au sol, braillant comme un cochon qu'on égorge, dans une ridicule tentative d'attirer notre attention. D'ailleurs, tu n'as pas beaucoup changé. Vous m'avez tous donné des migraines, mais toi – enfin, Robin a l'excuse de la maladie, mais toi, quelle excuse as-tu ?
Tu as grandi encore. Tu casses tout ce que tu touches. Les Autres font au moins de jolies choses. Toi, tu casses. Incapable de créer. Adepte du laid. Navrant, vraiment.
La Mère dit vrai.
Le monde de Tybalt est plein de choses laides. Et lui brise tout, surtout à la maison.
Tybalt se met à rire, trop fort, sans raison. Réaction nerveuse. Il ne supporte pas d'être ici. Ici les putes sont belles, pleines de dents et d'esprit. Ici la crasse luit comme de l'or, la sueur sent la rose ; ici, tous les fluides qui suintent des carcasses collées sont autant de nectars divins. Ici la laideur est esthétique, elle est choix artistique. Ici, tout est beau, si beau. Il arrête de rire. Il veut vomir. Son encéphale lui fait mal, et ses guibolles sont éreintées. Il s'est entraîné toute la sainte journée, et le voilà forcé de s'emmerder au milieu d'une énième bacchanale. Il pousse quelques danseurs, joue des coudes pour aller se servir un nouveau verre de vin. Il est écœuré par leur saleté si propre. La chaleur lui colle à la carne, moite, étouffante, et il se sent comme piégé dans l'utérus de sa mère. Au lieu d'un verre, il embarque finalement la bouteille.
Il fait tâche. Smoking débraillé, tignasse crasseuse et barbe mal taillée, odeur de tabac glacé et de sueur non-parfumée. Il boit au goulot, avec son petit air haineux sur le visage. Il pue la jalousie ; corbeau qui marche parmi les colombes. Une brune l'approche pourtant – sûrement désespérée –, mais il ne lui prête pas attention. Il n'a pas envie de baiser ce soir. Être à la maison suffit pour le faire débander.
Regarde-les. Re-garde-les.
La grâce qui dégouline de partout. Les sourires, les chuchotis, les regards, la chair qui chante et se mêle chez les faux prophètes du Paradis. Il lui faudrait son prêtre-confesseur pour purifier tout ça. Ou peut-être que lui aussi serait beau comme eux. Le traître. Ou peut-être Desdémone. La chienne brille par son absence. Toujours. Le sucre du vin l’écœure et lui colle aux lippes. Il perd le fil de ses pensées. On le bouscule. Mouillé. Il touche son torse. Du rouge s'épanche sur sa chemise presque blanche. Le fauteur de trouble se répand immédiatement en excuses, un air mortifié à la gueule. Tybalt regarde sa chemise, et regarde l'homme. Il a de grands yeux noirs timides, et de longs cils de fille. Un visage aux traits fins, précieux et délicats. Il ressemble à un Montaigu.
– Vous m'avez tâché, lâche le blond d'un ton lugubre. – Vous m'en voyez navré ; vraiment je - – Ma sœur a cousue cette chemise. En la salissant, vous avez sali son honneur. Vous avez sali mon honneur. Êtes-vous venu ici pour salir NOTRE HONNEUR, MONSIEUR ? – Allons, voyons, n'en faisons pas un drame vraiment, je suis tout prêt à - – LA MAISON DES CAPULET NE SAURAIT TOLÉRER PAREILLE INSULTE MONSIEUR. – Enfin, c'est ridicule, c'est une simple - – UN DUEL ! J'EXIGE UN DUEL ! QUE TOUS M'EN SOIENT TÉMOINS, CET HOMME A SALI MA MAISON !
Saoul et postillonnant, Tybalt harangue un garde pour qu'il lui donne sa lame. Le pauvre bougre n'a guère le choix, et se voit échanger son glaive contre une bouteille de vin. La loi est la loi. Un second glaive est donné à l'infortuné adversaire. Immédiatement, On fait cercle autour d'eux. Même dans cet état, Tybalt reste vicieux et dangereux; tous le savent, tous se pressent pour le spectacle. D'un geste expert, il fait tourner l'acier dans l'air. C'est une danse ; un sinistre pas de deux. Bientôt, le fer vient mordre le fer.
Le poison de l'alcool s'envole, chassé par l'ivresse de l’adrénaline. On pare, on esquive. On réplique, on force. L'adversaire recule, on tempère ses passions. On le laisse venir. Viens, viens. On exécute le ballet poli des Grands de ce monde, aux codes rigides et pleins de morale. On tire le plaisir que l'on peut de croiser le fer avec un faible. Le combat ne dure pas.
Un coup habile, et l'épée de l'offensant tombe à terre. Le premier sang est versé. Mais ça n'est pas assez pour Tybalt. Tybalt veut rayer son joli minois. Alors il l'attrape par le col, et lui envoie ses phalanges dans la gueule. Quelque chose craque. Le type hurle, et se dégage en se tenant le nez. Il ne comprend pas. Il saigne, beaucoup. Personne ne dit rien. Tybalt revient, et le type essaye de se défendre. Il lance ses petits poings faibles dans l'air, sans grande conviction. On ne lui a jamais appris que, pour faire mal, il faut en avoir envie. Tybalt, lui, déborde d'envie. Il évite, tangue, danse d'un pied sur l'autre, avec la souplesse animale des Étoiles. Quand vient son tour de rendre les coups, il vise cette fois les entrailles. Du mou sous ses doigts durs. Le type s'effondre. Tybalt lui monte dessus, et entreprend de lui refaire le portrait de ses grandes pattes mauvaises. Avec lui s'invite la sauvagerie du Colisée, celle qui n'est permise qu'entre les esclaves, celle que l'on contemple de loin. Seigneur de si loin. C'est le sable sale des vieilles pierres qui tâche le marbre blanc.
Quand Tybalt en a fini, il se relève, et s'essuie les mains sur sa veste chiffonnée. Il rend le glaive, récupère son vin. Alors sa tante Diane s'approche, et le gifle. Un aller-retour sec sur ses pommettes. Il reste interdit. Elle lui demande de partir. À côté d'eux, de discrets serviteurs emportent le malheureux à terre.
Les regards se détournent, le cercle se brise, la fête reprend.
Tybalt s'en va, une main sur la joue, l'autre tenant sa bouteille.
La Mère ment.
Le monde de Tybalt est empli de jolies choses, dont lui aussi est l'artisan. Le monde de Tybalt est fait de muscles secs et nerveux, de torses maigres et de cuisses gigantesques. Le monde de Tybalt est le sein noir de l'Opéra, là où les étoiles brillent le plus fort. Il fait partie d'elles. Ce soir, lui aussi est plein de lumière.
Corps tordu, muscles tendus, pieds dressés sur le plancher usé. Le dernier acte. Un tremblement à peine visible. Une tension vacillante qui s'incruste dans la rigidité pleine de perfection. La colonne s'arque et les bras se déploient ; l'infini au bout des doigts. Il fait un pas. Puis un autre. Il glisse sur les lames de bois, avec ce désarmant naturel que la danse lui octroie. Ses orteils s'arrachent à la gravité, un intemporel instant, grand écart dans un souffle suspendu, et il retombe comme un chat. Les chevilles ploient, les poignets s'étirent et se déplient autour de lui. Il se redresse, retrouve son inflexible maintien. Il a ce sourire crispé et encombré de douleur qui ne les quitte jamais. Ses dents blanches dévorent sa mâchoire, étrangement lisse et nue ce soir. Il faut sourire, sourire, sourire. Les pas s'enchaînent, et bientôt il est en sueur. Ses boucles blondes sont mouillées, et chaque geste voit une myriade de gouttes s'envoler. Une auréole éphémère qui brille dans la lumière. Il a si mal, et il est si beau. Ici, il est l'égal des Dieux, et éblouit aussi durement qu'eux. Il est lui sans l'être, il est cette chose rêvée, fantasmée, parfaite, qui n'existe qu'entre ces murs centenaires. Ordre et Calvaire subliment la rage qui infeste sa carne. Les tempêtes qui habitent son poitrail sont magnifiées, transcendées par le ballet. Tybalt ne voudrait jamais s'arrêter de danser, jamais jamais. Ses souliers reviennent au milieu de la scène, et les pointes s'érigent de nouveau dans les airs.
Tybalt se met à tourner. Une jambe pliée, angle droit parfait, et sa jumelle, qui tient si solidement à la verticale. Tourner et tourner, comme si les circonvolutions aller durer pour l'éternité. On essaye de toujours de compter, mais on n'y arrive jamais. Tybalt va si vite, et sa nuque est si raide, que son visage semble immobile entre ses bras courbés. Personne n'échappe à ses yeux trop grands et trop bleus, à cette brûlure qui se cache dans ces cieux. Puis, avec une lenteur mesurée, il laisse se désagréger son cercle parfait. L’impeccable métronome s'abandonne ; il finit par s'arrêter. Il tombe. Il tombe dans une souplesse hantée de violence, comme un pantin aux fils brutalement coupés. Carcasse écartelée étalée sur le plancher. Genoux fléchis, talons sous les fessiers, et la cage thoracique offerte aux applaudissements qui viennent le dévorer. Ah, Tybalt plein de grâce.
Dernière édition par Tybalt Capulet le Sam 1 Aoû - 12:01, édité 12 fois
[ MESSAGES : 66 INSCRIPTION : 26/07/2015 PSEUDO : calamity dog AVATAR : Ellen Page ALLÉGEANCE : Aut vicere, aut mori. Silas Montaigu
Silas; merci. c'est mignon tout plein casse-noisette, c'est vrai que ça lui va foutrement bien
Ixion; yeah well, faut bien que les capulets fassent un peu concurrence aux montaigus. j'suis blond, je danse, j'ai le torse huilé, rien ne manque pour la prétention au titre
Chrysale; Grand merci, j'ai cru voir qu'on était assez rare sous ces latitudes ! (et emily, omg, ça fait tellement plaisir de la revoir sur un forum )
Othello; thanks ! et totalement pour sergei
MESSAGES : 425 INSCRIPTION : 23/07/2015 PSEUDO : NUIT BLANCHE AVATAR : MADS MIKKELSEN ALLÉGEANCE : HELSINGOR OCCUPATION : LORD OF WAR Claudius Helsingor
Ohmondieuohmondieuohmondieu Déjà Tybalt, jamais compris pourquoi, mais je l'ai toujours adulé, en plus bon Charlie voilà quoi et ce que tu es en train d'en faire non mais rhaaaaa J'adore ! Bienvenue à toi
MESSAGES : 142 INSCRIPTION : 23/07/2015 AVATAR : Travis Fimmel. ALLÉGEANCE : Ceux qui paieront le mieux. OCCUPATION : Combattant, revendeur de dopes. Orphée Santi
/débarque en courant et pousse tout le monde / MON FRÉROT ! (Enfin celui de Desdé quoé. Quoique, vu leur tronche, on peut avoir des doutes TON PÈRE AURAIT PAS DES BATARDS QUI TRAINENT ? )
Ya Desdémone qui me dit de te dire que si tu l'aimes pas plus que les autres Capulet, elle va pleurer très fort et t'éventrer dans ton sommeil.
Claudius; avec toutes les belles gueules qui traînent dans le coin, ce serait AVEC PLAISIR mais j'garantie pas l'état du client à la sortie.
Cassandre; merci (ce prénom + lana )
Andromaque; mais tybalt c'est le (presque) méchant le plus cool ou du moins, il essaye fort et grave que charlie colle bien au rôle
Orphée; OH MAIS OUAIS. t'es genre mon jumeau plus vieux d'une autre mère
et bien sûr que y'a que Desdé que jm ultra fort chez les Capulet avec qui d'autre j'pourrais m'entraîner pour mes pas de deux? ou on peut monter un numéro burlesque aussi, j'suis sûr que ça attirerait du monde et puis j'ai pas envie de me faire éventrer
/mindfucker ; le cerveau a fondu en essayant d'imaginer/
JE PRÉFÈRE CA OUAIS. MON MIEN MON FREROT A MOÂ /s'accroche à sa jambe et attend la suite de la fiche/ M'en fous que tu doives danser, j'reste là. J'suis bien. Et puis si j'dois t'éventrer ce sera avec amour, j'le promets.
MESSAGES : 63 INSCRIPTION : 24/07/2015 PSEUDO : .heavencanwait AVATAR : M. Fassbender ALLÉGEANCE : MACBETH (STYX) OCCUPATION : Satisfaire sa femme et gérer les comptes du Styx Malvolio Macbeth
Ce début de fiche, j'en suis déjà scotchée. Tybalt en danseur, jamais je n'y aurais songé, encore moins avec Charlie et pourtant, tu l'as fait, tu as osé, je suis fan. Babs va devoir me faire une mini bann à ton nom, voilà. (et charlie n'y est pour rien, pas du tout, n'importe quoi, cessez ces ignobles sous entendus)
Gédéon; ué, faut monter un temple à l'admin (les?) qui a eu cet éclair de génie. (fétus!deep )
Sybille; j'met aussi des poils partout, et je ronfle, comme ça le packaging du clébard relou est complet
Desdé; ('tain j'me retiens trop pour pas écrire Dédé........) VOILA j'ai fini. REGARDE MOI DANSER.
et après on ira éventrer les autres si tu veux. y'aura p't'être moins d'amour, mais sur le long terme, c'est quand même plus drôle
(et c'est beau cette petite bann rose pour bien afficher nos couleurs, je vole )
Malvolio; merci bien !
Viggo; olàlà, merci ça fait trop plaisir, parce que j'ai trop hésité, charlie en danseur, c'est vrai qui faut faire un peu de gymnastique intellectuelle mais bon, faut faire des petites folies des fois. /3615mylife (et je salue aussi ton personnage parce 1) maxou - merci les scènes olé olé de sense8 - et 2) le rejet des familles et de leurs lois, c'est génial ! j'espère qu'il va bien foutre le bordel partout pour... remettre de l'ordre )
MESSAGES : 142 INSCRIPTION : 23/07/2015 AVATAR : Travis Fimmel. ALLÉGEANCE : Ceux qui paieront le mieux. OCCUPATION : Combattant, revendeur de dopes. Orphée Santi
FICHE FINIE FICHE FINIE /court partout et va crier ça dans les oreilles de Clauclau/
J'aimeuh ce que tu as fait de Tybalt. Mais genre, vraiment vraiment. Faut absolument qu'on voit pour notre lien Tyb/Desdé. (ou Dédé, c'est comme tu veux c'est où tu veux c'est quand tu veux)
MESSAGES : 425 INSCRIPTION : 23/07/2015 PSEUDO : NUIT BLANCHE AVATAR : MADS MIKKELSEN ALLÉGEANCE : HELSINGOR OCCUPATION : LORD OF WAR Claudius Helsingor
On s'calme Orphée ou je te ferai subir quelques sévices charnels dans la soirée
BIENVENUE EN ENFER
« Venez, esprits qui assistez les pensées meurtrières ! Du crâne au talon, remplissez-moi de toute la plus atroce cruauté ! »
Ô toi l’invaincu, le prince déchu ou la princesse aux doigts tachés de sang. Rome est à toi. Tu as passé les portes du purgatoire, te voilà donc en Enfer, félicitations brave guerrier ou gente dame.
Ce que tu as fait de Tybalt relève du génie, du divin. Tu respectes la pièce et le perso original magistralement. Ton style travaillé, rythmé, fascinant est comme un ballet que l'on regarde, en priant pour que la valse ne s'arrête jamais. J'ai véritablement ressenti des émotions en te lisant. Cette force démesurée, cette virilité chez Tybalt, cette noire élégance, ton histoire est construite avec classe, tu as le sens du détail. On s'attache à ce mauvais bougre, à ce marginal, à ce non-conformiste. Je veux te voir évoluer, nous éblouir de mille feux. Je suis vraiment sous le charme et j'espère vivement un lien et un rp avec toi. Tu es validé, va vite engendrer des merveilles !
Tu peux désormais former des pactes avec les autres démons présents sur nos terres, en postant une FICHE DE LIENS. Demander de folles aventures, comploter et manigancer pour prendre le pouvoir en demandant un rp. Si l'envie d'un compagnon infernal se fait trop pressante, il te faudra passer par les SCÉNARII ; n'oublie pas que tu es condamné(e) à n'en faire que deux. Pense à vérifier si nous n'avons pas oublié ton beau faciès dans un placard en passant par les BOTTINS.
Maintenant que le pacte est signé de ton sang, ton âme nous appartient, pour leurrer d'autres innocents dans nos affreux filets, pense à passer régulièrement sur BAZZART et vote pour nous sur les TOP, merci nous t'en serons gré.
Sur ce amuse-toi bien, au plaisir de te revoir dans les limbes, et tâche de rester en vie.
Dernière édition par Claudius Helsingor le Sam 1 Aoû - 21:40, édité 1 fois
Orphée; putain trop bien si ça t'plaît alors, ça m'aurait embêté que ma grande sœur m'aime pas j'te mp sur dédé
Claudius; /va mourir un peu et reviens. olàlà... merci pour tous ces compliments, c'est rassurant quand on a toujours peur d'être un peu à côté de la plaque! J'suis vraiment contente d'avoir proposé un tybalt qui vous plaise. Et le lien et le rp sont avec grand plaisir, j'suis sûre qu'on aura pas de mal à trouver un truc ultra-intéressant
MESSAGES : 425 INSCRIPTION : 23/07/2015 PSEUDO : NUIT BLANCHE AVATAR : MADS MIKKELSEN ALLÉGEANCE : HELSINGOR OCCUPATION : LORD OF WAR Claudius Helsingor